À la Di Stasio

Recette : Hot Chicken

par
publié le
Lorsqu'un plat classique est revisité par un grand chef, il est difficile de ne pas passer à côté. Pour ce merveilleux hot chicken, c'est le renommé chef du restaurant le Newtown Matin Juneau qui nous offre cette recette durant un épisode de l'émission à la di Stasio. Vu à l’émission à la di Stasio Comment faire la recette de hot chicken Création de Martin Juneau Satisfaction : 10 sur 10 Difficulté : Facile Préparation : 1h30 (incluant la cuisson) Je ne vais pas vous le cacher, avant j'avais tendance à acheter un poulet déjà cuit, une canne de sauce à hot chicken et une canne de petits poids (honte à moi, je sais). Vraiment, la recette facile pour préparer ce petit classique de casse-croûte. Quand j'ai vu la recette de Martin Juneau, je me suis dit que je ne pouvais pas passer à côté de sa recette. On parle d'un hot chicken revisité et surtout authentique. En plus, c'est une recette vraiment abordable, car les cuisses de poulet, c'est quasiment donné à l'épicerie. La préparation des cuisses de poulet se prépare en un tour de main et donnera ce qu'il faut pour préparer l'excellente sauce qui accompagnera le plat. On obtient une excellente sauce à mettre à terre toutes les cannes brunes que vous avez dans votre armoire à la poubelle. Après cette petite heure de cuisson, j'ai passé rapidement des petits poids à l'eau bouillante (à peine quelques secondes) et je les ai fait revenir dans du bacon. J'ai ajouté aussi les herbes proposées dans la recette par Martin Juneau. Le montage donne une belle présentation avec les couleurs et surtout permet de déguster un classique authentique revisité et surtout avec des ingrédients de qualité.
Pour boire, Benoît Tremblay de la rubrique à grappe suggère : Ce bon vieux hot chicken, revu et modernisé, pourrait tout aussi bien se marier avec un vin blanc qu’un vin rouge. D’emblée, j’opterais pour un bon blanc charnu, voluptueux et légèrement boisé. Je pense tout spécialement au célèbre cépage Chardonnay, qu’on retrouve, en proportion variable, dans pratiquement tous les pays producteurs de vin. Un Chardonnay Australien me semble tout indiqué, dans ce cas-ci. Vous y trouverez un fruit opulent, une texture grasse ainsi qu’une belle acidité équilibrée et rafraichissante. Pour ceux et celles qui préfèrent un vin rouge, je vous propose une petite visite dans le Beaujolais. Nous vous y trompez pas, il n’y pas que du Beaujolais Nouveau dans cette belle région accueillante. Élaborés à partir du cépage Gamay, les vins du Beaujolais sont majoritairement souples et fruités. On ne veut pas masquer le goût du poulet avec un vin trop corsé aux tannins imposants. Je vous suggère donc de vous orienter vers les appellations comme Moulin à Vent, Chenas, Morgon et Brouilly, qui donnent des vins plus complexes que ceux de l’appellation générique. Voici mes choix : BlancRouge